Mme Capelle nous rappelle très justement qu’«il ne faut pas oublier le passé, mais qu'il faut aussi avancer. » Et Mme Kolinka d’ajouter « Il faut vivre. Et rire. » Car à travers ce voyage, son récit et son témoignage, les photos que nous regardons et les noms que nous lisons, « nous faisons revivre toutes ces victimes dont on ne parle jamais » nous dit-elle. « Il faut les faire revivre, mais dans la joie. »
Et de fait, notre séjour a été rythmé par des moments d’échanges, de joie, de rire, d’émotion, de fraternité. Cette fraternité, à laquelle les petits frères tiennent tant, a pris tout son sens durant ce voyage. Chacun d’entre nous, bénévole, membre de l’association, personne accompagnée, était présent pour aider, soutenir celui ou celle qui en avait besoin, ne laissant jamais personne seul. Une fraternité qui a permis à certains d’effectuer ce voyage qui autrement n’en auraient pas eu la possibilité ou la force.
Une fraternité que ce voyage a renforcée.
BRAVO à vous tous pour la réussite de ce voyage et pour ce sublime blog que je n'ai pas encore eu le temps de visiter en entier.
RépondreSupprimerRavi que vous ayez pu vivre ainsi la fraternité à travers les âges et les nationalités en vous souvenant que le monde de demain est toujours à construire et que c'est l'affaire de tous !
Eugène